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mardi 26 février 2013
samedi 23 février 2013
Le ballon-école de l'ESEO : le 22 février 2013 ?
Pas de nouvelle de ce lâcher de ballon de l' ESEO ?
Dans l'article il était question de la date du 22 février. Parti, pas parti ?
Ce sont 20 étudiants de l’ESEO en option Architecte Systèmes Temps Réels Embarqués qui ont conçu la nacelle embarquant des capteurs de température (descendue à -47° en 2012 !), de pression et de lumière UV.
L’objectif pour la nacelle est d’effectuer un vol stratosphérique, jusqu’à 31 km d’altitude et de transmettre en temps réel les différentes mesures et la position du ballon grâce au GPS embarqué.
Ce projet est réaliser avec le concours du CNES et de Planète-Sciences.
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Dans l'article il était question de la date du 22 février. Parti, pas parti ?
Envoyer un ballon à 31 km d’altitude
C’est le 22 février prochain qu’aura lieu le prochain vol du ballon-sonde de l’école ESEO. Le ballon, gonflé à l’hélium, est équipé d’une chaîne de vol complexe générant en direct des photos et des vidéos !Ce sont 20 étudiants de l’ESEO en option Architecte Systèmes Temps Réels Embarqués qui ont conçu la nacelle embarquant des capteurs de température (descendue à -47° en 2012 !), de pression et de lumière UV.
L’objectif pour la nacelle est d’effectuer un vol stratosphérique, jusqu’à 31 km d’altitude et de transmettre en temps réel les différentes mesures et la position du ballon grâce au GPS embarqué.
Ce projet est réaliser avec le concours du CNES et de Planète-Sciences.
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La vidéo du précédent projet :
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Un adolescent surpasse la NASA !
C'est une ancienne information mais elle a eu un impact certain :
Adam Cudworth, jeune anglais de 19, a réussi un pari fou; celui de prendre des photos de la Terre avec rien de plus qu’un ballon de baudruche et un appareil photo bon marché acheté sur eBay.
Petits moyens, grandes ambitions
Ces photos sont d’une telle qualité que l’on pourrait se demander si elles ne proviennent pas tout droit d’un satellite de la NASA. Ce n’est pas le cas. Ces photos ont été prises par un appareil photo acheté 30£ sur eBay. Après 18 mois de réflexion sur son projet, il est passé à l’action mardi dernier, lorsqu’il a lancé son boitier dans l’espace.Pour réaliser son projet, Adam a fabriqué un boitier, baptisé Habe 5, muni d’un GPS pour suivre son parcours, d’un transmetteur radio qui indiquera où se trouvera le boitier lorsqu’il sera retombé sous l’atmosphère (dépassant les 140km/h), d’un microprocesseur, de l’appareil photo, de 2 capteurs de température et de 2 panneaux solaires. Ceci ne lui a pris que 40 heures de son temps. Adam pouvait donc suivre en temps réel la vitesse et l’altitude à laquelle se trouvait son dispositif. 2h30 après son lancement, le boitier se trouvait à 33 km au dessus de la stratosphère, altitude maximale que le ballon pouvait supporter. Tout le long de son ascension, le dispositif a pu capturer des photos à couper le souffle.
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Commentaires à cet article :
Il faut plus qu'un ballon de baudruche pour lâcher une nacelle photographique. Un baudruche soulève
péniblement 4 grammes !
Par contre un ballon de 100 grammes peut déjà soulever un pico ballon de quelques dizaines de grammes.
Il y a les ballons de fêtes qui sont utilisés et les enveloppes Latex de 100g, 600g, 1200g ... 1600g.
Dans chaque cas, il y a des calculs de physique à faire pour déterminer comment vole un ballon avec une charge donnée.
Les appareils photo sont de très bonne qualité, et les caméras du style GO PRO HERO2 sont de plus en plus connues dans ces applications. Les images sont excellentes qualité HD.
Il est une remarque importante, à ne pas oublier, tout vol nécessite une déclaration à l'aviation civile et une assurance en cas de problème. Le risque zéro n'existe pas.
La miniaturisation des charges (32 grammes pour un pico ballon) réduit les risques.
Mais on voit encore des nacelles (payload) de 2,5 kg de grande dimension.
Il existe un "cahier des charges" à respecter dans ce domaine et on est loin du "bricolage de génie".
La limite admise par les amateurs est un cube de 30 cm de côté en polystyrène extrudé.
Voir la photo ci-dessus.
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jeudi 14 février 2013
Ballon école dans l'espace ESEO à ANGERS
photo : ESEO 2012
Des étudiants de l'ESEO ont développé un ballon, gonflé à l'hélium, emportant une chaîne de vol complexe et générant en direct photos, température, pression, vidéo, etc. Le ballon-sonde décollera bientôt du toit du nouveau campus de l'ESEO à ANGERS !
Projet de 20 élèves-ingénieurs ESEO : envol ballon sonde ESEO 2012
Cette année encore, 20 étudiants de l'ESEO (option Architecte Systèmes Temps Réels Embarqués) réalise une nacelle embarquant des capteurs de température (descendue à -47°C l'année dernière!), de pression, de lumière UV, ainsi qu'un appareil photo et une caméra vidéo haute résolution (superbes images de la stratosphère).
La nacelle doit effectuer un vol stratosphérique (jusqu'à 31 km d'altitude !) grâce à un ballon gonflé à l'hélium, et transmettre en temps réel ces mesures ainsi que sa position grâce au GPS embarqué.
Ce vol est soumis à des autorisations de l'aviation civile et depuis cette année, l'accord des autorités militaires, celles-ci reprenant la fréquence utilisée par la télémesure des étudiants.
Ce projet annuel est réalisé avec le soutien de l'association PLANETE SCIENCES et le CNES
(Centre National d'Etudes Spatiales).
Bravo aux étudiants de 3ème année !
En savoir plus c'est ici :
http://www.eseo.fr/l-ecole/fil-d-actualites/448-ballon-sonde-dans-l-espace.html
Vidéo du vol 2012 c'est ici :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=RzjXJuWsaOc
Contacter l' ESEO : c'est ici : thierry.bouvier (at) eseo.fr
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dimanche 10 février 2013
Un ballon école au collège J. Moulin d’Alès
mercredi 6 février 2013
Dans le cadre de l’atelier "Découvertes scientifiques", des élèves de 5ème du collège Jean Moulin d’Alès poursuivent leur étude de l’atmosphère, et vont envoyer un ballon sonde dans le ciel !
Ce projet, qui se nomme "Un ballon pour l’école" (UBPE), a pour objectifs de faire réaliser aux élèves une nacelle avec des capteurs (de température, de pression, d’éclairement, d’humidité...). Cette nacelle sera ensuite attachée à un ballon stratosphérique (un ballon sonde) et pourra monter dans le ciel jusqu’à 30 km d’altitude !
Ce projet entre dans la convention passée entre le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales) et le Rectorat de Montpellier. L’association Planète Sciences est l’autre partenaire de ce projet.
Lire l'article ici : http://promost.ac-montpellier.fr/spip.php?article111
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